Le rachat de crédit est de plus en plus présent dans notre quotidien. De nombreux sites et plateformes comparatives le conseillent. Même nos boites mails reçoivent de telles propositions. La facilité de contracter différents crédits, les difficultés financières engendrées par la situation économique actuelle, engagent de plus en plus de familles dans une situation difficile à supporter à long terme.
La solution pour pallier à cette situation désagréable consiste à utiliser le principe du rachat de crédit. Il consiste pour les personnes supportant le remboursement de plusieurs prêts, de réunir les différents crédits en un seul. A cette occasion, les emprunteurs qui n’ont plus qu’un seul dossier peuvent renégocier les caractéristiques du contrat de prêt, telles que réduction des versements mensuels, diminution du taux etc…
Pourquoi faire un regroupement de prets de 171000 euros
Ces avantages sont variés. En premier lieu, comme les diverses mensualités antérieures sont fusionnées en une seule, on pense que cette mesure simplifie considérablement la gestion de son budget. Les autres avantages résultent de la possibilité des renégociations possibles lors de la procédure de rachat.
Généralement lors d’un rachat de crédit on s’intéresse en premier lieu au taux. Ces dernières années le taux nominal (taux de base propre à l’établissement préteur) et donc le taux effectif global (taux nominal augmenté des frais divers relatifs au dossier de prêt) ont baissé. Ainsi des regroupements de crédits ont pu être réalisés même en dehors de difficultés financières.
Il est d’autre part possible de chercher, en plus d’obtenir un taux inférieur, à diminuer le montant des échéances mensuelles ce qui permet de dégager un montant de trésorerie non négligeable qui va entrainer un assainissement des finances. Même si cette mesure s’accompagne d’une augmentation de la durée des remboursements elle permet de rééquilibrer un budget.
Si on ne désire pas diminuer le montant des mensualités, il est possible avec un taux réduit, de bénéficier, si l’organisme préteur l’accepte, d’un montant de trésorerie supplémentaire.