Concrétiser un projet en obtenant rapidement des fonds, sans avoir à s’expliquer sur leur utilisation… voilà ce que propose le prêt personnel, prisé par de nombreux emprunteurs.
Ce crédit auto sans justificatif promet ainsi rapidité et facilité dans le déblocage et l’utilisation des fonds. Cnasea vous dit tout sur le prêt personnel.
Prêt personnel : un crédit auto sans justification de l’utilisation des fonds
Pour souscrire un crédit auto, plusieurs justificatifs sont demandés. Ces derniers sont destinés à apprécier votre solvabilité et à identifier votre identité en tant qu’emprunteur.
Si vous optez pour le prêt personnel, il vous faudra également apporter des justificatifs sur votre identité et vos ressources.
Néanmoins, la grande différence réside dans le fait que vous n’aurez pas à justifier de l’utilisation des fonds débloqués.
Cela vous laisse donc entièrement libres de pouvoir utiliser l’argent comme vous le souhaitez, pour l’achat de votre nouveau véhicule et/ou un autre projet qui vous tient à cœur.
Le prêt personnel sans justificatif peut atteindre un montant maximum de 75 000 €, comme pour le crédit auto classique, à rembourser sur une durée maximale de 7 ans.
Prêt personnel sans justificatif : attention vigilance !
Le prêt personnel a le principal avantage de vous permettre de concrétiser n’importe quel projet, en toute discrétion.
Une fois que les fonds sont débloqués, vous n’avez aucune obligation d’achat et n’avez donc aucun justificatif d’achat à fournir à l’établissement prêteur.
Les formalités sont également simplifiées, pour un prêt plus flexible qu’un crédit auto affecté à l’achat de votre nouveau véhicule, neuf ou d’occasion.
Néanmoins, le principal inconvénient réside dans le manque de sécurité. Ainsi, contrairement au crédit auto affecté, le prêt personnel ne vous permet pas de faire annuler le crédit si votre véhicule ne vous est pas livré par exemple.
Soyez tout de même vigilants à ne pas confondre un crédit sans justificatif avec un crédit sans obligation de justificatif d’identité ou de revenus.
En effet, il existe une obligation de base de vérification d’identité de l’emprunteur. Chaque organisme financier doit vérifier la solvabilité du demandeur et ses capacités de remboursement.